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Reflexions na Niedzielę. Front antyrepublikański

Swoimi refleksjami z Czytelnikami Gazety na Niedzielę dzieli się mieszkający wśród nas dziennikarz Nathaniel Garstecka. Refleksje o Polsce i Polakach, zdziwienia i fascynacje. Tekst publikujemy w językach francuskim i polskim.

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Réflexions d’un dimanche

Le front anti-républicain

Depuis un an, on accuse, à raison, Emmanuel Macron d’être responsable de l’instabilité politique en France. Les élections législatives anticipées de 2024 ont effectivement consacré la tripartition de l’Assemblée Nationale, empêchant l’émergence d’une quelconque majorité stable. Cependant, même si la dissolution a été l’événement déclencheur de la crise, c’est un autre élément qui a provoqué le plus de dégâts: le prétendu «front républicain».

Souvenons-nous du contexte des élections de 2024. Porté par des sondages lui accordant une large avance, une forte majorité relative et même, selon certains, la possibilité d’obtenir la majorité absolue, le Rassemblement National arrive pour la première fois de son histoire en tête du premier tour des législatives, avec 33% des voix (en alliance avec Éric Ciotti). Les estimations les plus pessimistes indiquent alors un minimum de 220 élus, et les plus optimistes envisagent jusqu’à 305 sièges. Un raz de marée.

En toute logique démocratique, le parti de droite aurait dû bénéficier d’un élan électoral et confirmer au second tour son bon score du premier. Pensez-donc: 38 candidats élus dès le premier tour, présent dans 451 seconds tours. L’état des lieux au soir du 30 juin 2024 est de plus de 300 triangulaires et même 5 quadrangulaires. Même s’il ne parvenait pas à obtenir de majorité absolue, le parti de Marine le Pen devrait s’en approcher suffisamment pour être en mesure de l’atteindre après avoir débauché une partie des LR.

A gauche, le Nouveau Front Populaire est crédité de 28% des voix avec des estimations allant de 120 à 200 sièges. Le bloc central, lui, serait considéré comme le grand perdant avec une perspective de 70-120 élus, alors qu’il en avait obtenu 250 en 2022.

C’est au lendemain du premier tour que le «coup d’Etat électoral» a eu lieu. Très rapidement, des accords sont passés entre les centristes et le NFP pour empêcher le RN de remporter la mise. Dans les triangulaires où se trouvent un candidat RN en tête, un candidat NFP et un candidat Ensemble, le moins bien placé se désiste et appelle à «faire barrage à l’extrême-droite». En à peine quelques jours durant la semaine d’entre-deux tours, nous assistons à plus de 220 «désistements républicains», ce qui contribue, artificiellement, à une victoire de la gauche au second tour, à un sursaut du centre et à un effondrement du RN par rapport à ce qui lui était annoncé.

Ainsi, au lieu d’avoir une Assemblée Nationale avec, mettons, un RN (en alliance avec Eric Ciotti) à 260 députés, une gauche à 160 et un centre à 90, nous avons trois blocs plus équilibrés avec 180 sièges pour la gauche, 150 pour le centre et 140 pour la droite au soir du second tour. C’est ici que réside la véritable source de l’instabilité parlementaire qui a suivie et de l’incessante valse des premiers ministres.

Le «front républicain», qui s’est en réalité avéré très anti-républicain étant donné la crise des institutions que nous expérimentons, est une tentative désespérée pour l’establishment de se maintenir au pouvoir «quoi qu’il en coûte». C’est d’autant plus repoussant que l’accord entre le centre et la gauche a permis à aux radicaux de LFI d’obtenir bien plus de députés que ce qui leur était promis. LFI qui prospère sur des discours plus qu’ambigus sur l’islamisme et l’antisémitisme, alors que le RN des années 2020, lui, n’a plus rien à voir avec le FN des années 1970. Pourquoi ne pas accorder au plus grand parti de droite ce qu’on a accordé avec une indulgence désarmante au PCF?

On a aussi appris, grâce au Figaro, qu’Emmanuel Macron avait souhaité que le RN remporte les élections législatives, mais que c’est Gabriel Attal, par son appel à «faire barrage au RN même avec un bulletin de vote LFI», qui a saboté ce projet, sans doute peu satisfait d’avoir été poussé vers la sortie par le président. Le «cours naturel des choses», qui aurait au moins eu le mérite de clarifier la vie politique française, a donc été bloqué par l’alliance du centre et de la gauche contre l’avis d’Emmanuel Macron. Le progressisme contre la nature, rien de surprenant.

Le «front républicain» survivra-t-il à l’épreuve de la réalité? Difficile de prévoir. Il est certain que cette séquence de plus d’un an d’instabilité générale a eu comme conséquence l’affaiblissement du «barrage contre l’extrême-droite». En cas de nouvelles élections législatives, le RN progresserait sans doute. Obtiendrait-il la majorité absolue? Probablement pas dans un avenir proche. Mais cela permettrait au moins de mettre un terme à cette anomalie anti-démocratique qu’est le «cordon sanitaire», et ouvrirait peut-être la voie à un renouveau de la vie politique française.

Faut-il liquider la réforme des retraites?

La gauche met en avant sa volonté de suspendre la réforme des retraites chère au président Macron et de «préserver» un âge de départ à la retraite à 62 ans. Disons-le clairement: c’est une erreur.

C’est bien évidemment une erreur financière: le coût des retraites va continuer à s’alourdir dans les années qui viennent, alors que le gouvernement cherche désespérément des économies pour faire passer un budget un peu moins désastreux que celui de l’années précédente.

C’est aussi une erreur sociale: nous vivons de plus en plus longtemps, il est absurde de s’entêter à refuser la moindre réforme. Bien entendu, il convient de maintenir des exceptions pour les métiers les plus rudes, mais il faut aussi tenir compte de l’évolution des métiers: être cheminot au XXIème siècle n’est plus du tout la même chose qu’au siècle précédent.

C’est enfin une erreur démographique et de stratégie globale: Le système par répartition ne peut-être viable que si le nombre d’actifs est largement supérieur à celui des retraités, ce qui était le cas dans les années 1950 ou 1960, mais plus du tout depuis une vingtaine d’années. Or, la tendance démographique naturelle de notre civilisation occidentale s’oriente vers une baisse de la fécondité et un allongement de la durée de vie. Ceci est observable à partir des années 1970.

Au lieu de tenter par tous les moyens de corriger cette tendance, notamment via l’immigration massive de peuplement, il faut plutôt chercher à s’y adapter: automatiser et robotiser les secteurs économiques le permettant, augmenter drastiquement le niveau de l’éducation, parier sur l’innovation, encourager le travail des «seniors» (puisque «vieux» semble être devenu un terme péjoratif).

Accord Israël-Hamas

Il convient bien entendu de se réjouir de l’accord qui a été signé entre Israël et le Hamas, à l’initiative du président Trump afin de mettre un terme à la tragédie qui se déroule au Proche-Orient depuis deux ans.

La question qui désormais doit se poser est celle de l’application du «plan Trump en 21 points», en particulier pour ce qui est du transfert de pouvoir du Hamas à l’Autorité Palestinienne et une administration sous contrôle international. Le point crucial pourrait, cependant, s’avérer à long terme être celui concernant l’éducation. Comment extirper l’antisémitisme sanguinaire de l’esprit des Arabes palestiniens?

Les Européens croient bien trop que les Arabes sont comme nous, qu’il suffit de leur expliquer avec méthode que la violence n’est pas la solution et qu’il faut tolérer les autres cultures et les autres religions. Or, ce n’est pas comme cela que ça se passe chez eux. Nos considérations humanistes sont moquées par les représentants d’une civilisation fondée sur le tribalisme et le djihadisme.

Les Européens s’apitoient sur le sort des «victimes civiles innocentes» gazaouies. Pour le Hamas et les islamistes, les victimes civiles pavent la voie d’Allah. Le martyre dans la lutte contre les mécréants et les «croisés» est un motif de fierté. Nous ne comprenons pas les Arabes, ni les musulmans, et cette incompréhension criminelle nous amène à dénoncer Israël et l’accuser de génocide. Les militants gauchistes français, suédois, espagnols, polonais, qui se précipitent pour «briser le blocus» sont les idiots utiles de l’islamisme, tout comme les intellectuels français des années 1930 étaient ceux du communisme.

Notre amour de la vie humaine nous fait soutenir ceux pour qui la vie humaine n’est qu’un outil pour imposer leur totalitarisme. A cela s’ajoute un antisémitisme manifeste à l’extrême-gauche et dans certains milieux de droite. Le «génocide» devient alors un simple outil rhétorique pour régler ses comptes avec les Juifs, accusés de vouloir contrôler le monde, imposer le capitalisme, détruire le christianisme, démoraliser les nations occidentales ou mener une politique colonisatrice au Proche-Orient. Et si ces Juifs cessent de se laisser massacrer sans réagir, s’ils ripostent et sortent du stéréotype du cosmopolite lâche, alors ils ne suscitent qu’une haine encore plus forte à leur égard.

Ne nous leurrons pas. Il n’y aura jamais de paix au Proche-Orient tant que l’islam n’aura pas récupéré toutes les terres qu’il estime siennes. N’oublions pas non plus que l’Europe a déjà été parasitée par l’islamisme, via l’immigration massive arabo-musulmane et africaine depuis les années 1950. Ceux qui ont expérimenté dans leur chair le terrorisme islamiste comprennent Israël et le soutiennent. Ceux qui n’ont qu’une vision romancée de l’«Orient des Mille et Une Nuits» ou qui sont aveuglés par leur ressentiment pathologique contre les Juifs, continuent à militer «pour libérer la Palestine». C’est l’un des fronts du profond conflit de civilisation que nous vivons.




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Réflexions na niedzielę

Front antyrepublikański

Od roku Emmanuel Macron jest słusznie oskarżany o odpowiedzialność za niestabilność polityczną we Francji. Przedterminowe wybory parlamentarne w 2024 r. faktycznie doprowadziły do trójdzielności Zgromadzenia Narodowego, uniemożliwiając powstanie jakiejkolwiek stabilnej większości. Jednak nawet jeśli rozwiązanie parlamentu było wydarzeniem, które wywołało kryzys, to największe szkody spowodował inny czynnik: tak zwany „front republikański”.

Przypomnijmy kontekst wyborów w 2024 r. Sondaże dawały Rassemblement National znaczną przewagę, zdecydowaną większość względną, a według niektórych nawet możliwość uzyskania większości bezwzględnej; Rassemblement National po raz pierwszy w swojej historii zajął pierwsze miejsce w pierwszej turze wyborów parlamentarnych, uzyskując 33 proc. głosów (w sojuszu z Érikiem Ciottim). Najbardziej pesymistyczne szacunki wskazywały wówczas na minimum 220 wybranych kandydatów, a najbardziej optymistyczne nawet 305 mandatów. Zapowiadana była prawdziwa niebieska fala.

Zgodnie z logiką demokratyczną partia prawicowa powinna była skorzystać z impetu wyborczego i potwierdzić w drugiej turze swój dobry wynik. Proszę sobie wyobrazić: 38 kandydatów wybranych już w pierwszej turze, obecność 451 w drugiej turze. Sytuacja wieczorem 30 czerwca 2024 r. to ponad 300 „trójkątów” i nawet 5 „czworokątów”. Nawet jeśli partia Marine Le Pen nie uzyskałaby bezwzględnej większości, powinna była zbliżyć się do niej na tyle, aby móc ją osiągnąć po przejęciu części działaczy z centroprawicowego LR.

Po lewej stronie Nowy Front Ludowy uzyskał 28 proc. głosów, a szacunki wskazywały 120–200 mandatów. Blok centrowy jest uważany za największego przegranego – z perspektywą 70–120 mandatów; w 2022 r. uzyskał 250.

W dniu następującym po pierwszej turze wyborów doszło do wyborczego „zamachu stanu”. Bardzo szybko zawarto porozumienia między centrystami a NFP, aby uniemożliwić RN zwycięstwo. W trójkątach wyborczych, w których na czele znajdowali się kandydat RN oraz kandydat NFP i kandydat Ensemble (centrum), kandydat z najgorszym wynikiem wycofał się i wzywał do „powstrzymania skrajnej prawicy”. W ciągu zaledwie kilku dni między dwiema turami wyborów byliśmy świadkami ponad 220 „rezygnacji republikańskich”, co sztucznie przyczyniło się do zwycięstwa lewicy w drugiej turze, wzrostu wyniku centrystów i załamania się wyniku RN w stosunku do prognoz.

W ten sposób zamiast mieć Zgromadzenie Narodowe, w którym RN (w sojuszu z Érikiem Ciottim) miałby 260 posłów, lewica 160, a centrum 90, mamy trzy zrównoważone bloki – ze 180 mandatami dla lewicy, 150 dla centrum i 140 dla prawicy po drugiej turze. To właśnie tutaj leży prawdziwa przyczyna niestabilności parlamentarnej, która nastąpiła po wyborach, oraz nieustannych zmian premierów.

Front republikański”, który w rzeczywistości okazał się bardzo antyrepublikański, biorąc pod uwagę kryzys instytucjonalny, którego doświadczamy, jest desperacką próbą utrzymania się przy władzy przez establishment. Jest to tym bardziej odrażające, że porozumienie między centrum a lewicą pozwoliło radykałom z LFI uzyskać znacznie więcej mandatów, niż im obiecano. LFI prosperuje dzięki bardziej niż niejednoznacznym wypowiedziom na temat islamizmu i antysemityzmu, podczas gdy RN z lat 20. XXI wieku nie ma już nic wspólnego z FN (Front Narodowy Jean-Marie Le Pena) z lat 70. XX wieku. Dlaczego nie przyznać największej partii prawicowej tego, co przyznano z rozbrajającą pobłażliwością komunistom PCF?

Dzięki gazecie „Le Figaro” dowiedzieliśmy się również, że Emmanuel Macron chciał, aby RN wygrał wybory parlamentarne, ale to Gabriel Attal, wzywając do „powstrzymania RN nawet głosowaniem na LFI”, sabotował ten projekt, prawdopodobnie niezadowolony z tego, że został odsunięty od władzy przez prezydenta. „Naturalny bieg rzeczy”, który miałby przynajmniej tę zaletę, że uczyniłby francuską scenę polityczną jasną, został zatem zablokowany przez sojusz centrum i lewicy wbrew opinii Emmanuela Macrona. Progresywizm przeciwko naturze – nic dziwnego.

Czy „front republikański” przetrwa próbę czasu? Trudno to przewidzieć. Pewne jest, że ponad rok ogólnej niestabilności spowodował osłabienie „bariery przeciwko skrajnej prawicy”. W przypadku nowych wyborów parlamentarnych RN z pewnością zyskałby więcej mandatów. Czy uzyskałby bezwzględną większość? Prawdopodobnie nie w najbliższej przyszłości. Pozwoliłoby to jednak przynajmniej położyć kres tej antydemokratycznej anomalii, jaką jest „kordon sanitarny”, i być może otworzyłoby drogę do odnowy francuskiego życia politycznego.

Czy należy zlikwidować reformę emerytalną?

Francuska lewica podkreśla swoją chęć zawieszenia reformy emerytalnej, tak bliskiej sercu prezydenta Macrona, i przywrócenia wieku emerytalnego 62 lat. Powiedzmy to jasno: to błąd.

Jest to oczywiście błąd finansowy: koszty emerytur będą nadal rosły w nadchodzących latach, podczas gdy rząd desperacko poszukuje oszczędności, aby uchwalić budżet nieco mniej katastrofalny niż w poprzednim roku.

Jest to również błąd społeczny: żyjemy coraz dłużej, więc uparte odrzucanie jakichkolwiek reform jest absurdalne. Oczywiście należy zachować wyjątki dla najbardziej wymagających zawodów, ale należy również wziąć pod uwagę ewolucję zawodów: bycie kolejarzem w XXI wieku nie jest już tym samym, czym było w poprzednim stuleciu.

Wreszcie jest to błąd demograficzny i strategiczny: system repartycyjny może funkcjonować tylko wtedy, gdy liczba osób aktywnych zawodowo znacznie przewyższa liczbę emerytów, co miało miejsce w latach 50. i 60., ale od ok. dwudziestu lat już to miejsca nie ma. Natomiast naturalna tendencja demograficzna naszej zachodniej cywilizacji zmierza w kierunku spadku dzietności i wydłużenia życia. Jest to obserwowalne od lat 70.

Zamiast próbować za wszelką cenę skorygować tę tendencję, zwłaszcza poprzez masową imigrację, należy raczej starać się do niej dostosować: zautomatyzować i zrobotyzować sektory gospodarki, które na to pozwalają, drastycznie podnieść poziom edukacji, postawić na innowacje, zachęcać do pracy seniorów.

Porozumienie między Izraelem a Hamasem

Oczywiście należy cieszyć się z porozumienia podpisanego między Izraelem a Hamasem z inicjatywy prezydenta Trumpa, mającego na celu położenie kresu tragedii, która od dwóch lat rozgrywa się na Bliskim Wschodzie.

Teraz należy zadać sobie pytanie o wdrożenie „21-punktowego planu Trumpa”, zwłaszcza w odniesieniu do rozbrojenia terrorystów i przekazania władzy przez Hamas Autonomii Palestyńskiej i administracji podlegającej kontroli międzynarodowej. W dłuższej perspektywie kluczową kwestią może jednak okazać się edukacja. Jak wykorzenić krwawą antysemicką ideologię z umysłów palestyńskich Arabów?

Europejczycy zbytnio wierzą, że Arabowie są tacy jak my, że wystarczy im metodycznie wyjaśnić, że przemoc nie jest rozwiązaniem i że należy tolerować inne kultury i religie. Jednak u nich tak nie jest. Nasze humanistyczne rozważania są wyśmiewane przez przedstawicieli cywilizacji opartej na plemienności i dżihadzie.

Europejczycy użalają się nad losem „niewinnych ofiar cywilnych” w Strefie Gazy. Dla Hamasu i islamistów ofiary cywilne torują drogę Allaha. Męczeństwo w walce z niewiernymi i „krzyżowcami” jest powodem do dumy. Nie rozumiemy Arabów ani muzułmanów, a to kardynalne niezrozumienie prowadzi nas do potępiania Izraela i oskarżania go o ludobójstwo. Francuscy, szwedzcy, hiszpańscy i polscy lewicowi aktywiści, którzy rzucają się, aby „przełamać blokadę”, są użytecznymi idiotami islamizmu, podobnie jak francuscy intelektualiści w latach 30. XX wieku byli użytecznymi idiotami komunizmu.

Nasza miłość do życia ludzkiego sprawia, że popieramy tych, dla których życie ludzkie jest jedynie narzędziem do narzucania totalitaryzmu. Do tego dochodzi jawny antysemityzm skrajnej lewicy i niektórych środowisk prawicowych. „Ludobójstwo” staje się wówczas zwykłym narzędziem retorycznym służącym do rozliczenia się z Żydami, oskarżanymi o chęć kontrolowania świata, narzucania kapitalizmu, niszczenia chrześcijaństwa, demoralizowania narodów zachodnich lub prowadzenia polityki kolonialnej na Bliskim Wschodzie. A gdy Żydzi przestają bezczynnie poddawać się masakrom, zaczynają się bronić i porzucają stereotyp tchórzliwych kosmopolitów, wzbudzają tylko jeszcze większą nienawiść.

Nie oszukujmy się. Nie będzie pokoju na Bliskim Wschodzie, dopóki islam nie odzyska wszystkich ziem, które uważa za swoje. Nie zapominajmy również, że Europa została już „spasożytowana” przez islamizm poprzez masową imigrację arabsko-muzułmańską i afrykańską od lat 50. Ci, którzy doświadczyli na własnej skórze islamskiego terroryzmu, rozumieją Izrael i go wspierają. Ci, którzy mają tylko romantyczne wyobrażenie o Wschodzie z Księgi tysiąca i jednej nocy lub są zaślepieni patologiczną niechęcią do Żydów, nadal walczą o „wyzwolenie Palestyny”. Jest to jeden z frontów głębokiego konfliktu cywilizacyjnego, którego jesteśmy świadkami.

Nathaniel Garstecka

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