Reflexions na Niedzielę. Życzę Wam na ten 2025 rok…
Swoimi refleksjami z Czytelnikami Gazety na Niedzielę dzieli się mieszkający wśród nas dziennikarz Nathaniel Garstecka. Refleksje o Polsce i Polakach, zdziwienia i fascynacje. Tekst publikujemy w językach francuskim i (poniżej) polskim.
Réflexions d’un dimanche
Je vous souhaite…
En cette période de Noël, de Hanoucca et du Nouvel An, il est tout naturel de se remémorer l’année écoulée et de souhaiter à nos familles et nos amis tout le meilleur pour celle à venir. Ce n’est pas toujours chose aisée. Il faut parfois savoir innover, ne pas forcément répéter les mêmes vœux que lors des fêtes précédentes, s’adapter à la personne à laquelle on s’adresse. Livrons-nous cette-fois ci à un exercice un peu plus particulier : nos vœux non pas à des individus qui nous sont proches, mais à des pays et des nations.
Je souhaite à la France et aux Français davantage de courage. Du courage politique, bien évidemment, puisque le pays se trouve à la croisée des chemins et dans une situation où la moindre étincelle peut provoquer un bouleversement électoral. Il est tout à fait possible que de nouvelles élections législatives aient lieu en 2025, après l’échec du gouvernement Bayrou, voir de celui qui suivra. A cette occasion, je souhaite aux Français de mettre enfin aux poubelles de l’histoire le « front républicain ». Que ce soit en faveur de la droite ou d’un parti libéral-conservateur et identitaire. Plutôt en faveur du second que du premier peut-être, là n’est pas la question : il s’agit de se débarrasser de ce principe profondément antidémocratique qui a parasité la vie politique française depuis bien trop longtemps et créé une rupture d’égalité de traitement des différents partis. C’est le « front républicain » qui a donné une Assemblée Nationale ingérable et une situation de quasi blocage institutionnel. Le centre et la gauche ont beau dire que la droite est « irresponsable », c’est leur alliance au second tour des législatives anticipées qui a plongé le pays dans la crise. Avec bien sûr l’échec critique du macronisme en toile de fond. L’idée d’une démission d’Emmanuel Macron semble d’ailleurs gagner progressivement les esprits. Comment tenir encore deux ans dans ces conditions ? Si rien n’oblige institutionnellement le président à mettre précipitamment fin à son mandat, un nouveau désastre électoral pourrait l’y inciter. L’appel à mettre fin au « front républicain » concerne aussi l’élection présidentielle.
Du courage culturel et civilisationnel ensuite, avec la nécessité de clamer haut et fort la primauté de l’Occident sur ses terres. Le drapeau français doit cesser d’être considéré comme « fasciste », nos coutumes et traditions ne doivent pas être cachées au moment où d’autres peuples présents chez nous affichent les leurs avec fierté, voire avec arrogance. Le récit national doit retrouver une place centrale à l’école, car c’est le seul moyen d’intégrer, voire d’assimiler. Céder aux « accommodements raisonnables » et au respect débridé des différences de chacun ne contribue qu’à fragmenter davantage une société déjà fortement décomposée. Affirmer la place prépondérante du christianisme en France et en Europe n’est pas faire offense aux musulmans, tout comme affirmer la primauté de l’islam en Arabie Saoudite n’est pas une insulte aux chrétiens. « A Rome fais comme les Romains ». Je souhaite aux immigrés qu’ils vivent en Europe à l’européenne, sans qu’il y ait besoin de le leur imposer par la force. S’ils refusent, il faudra à ce moment le leur imposer. Après tout, ils n’ont nullement l’obligation de s’installer ici. Si la culture et l’identité de notre civilisation ne leur plait pas, ils sont libres de partir. Il ne faut pas hésiter. Sinon, toutes les belles paroles sur les « valeurs républicaines » ne resteront que du vent.
Je souhaite à la Pologne et aux Polonais de ne pas copier aveuglement les erreurs commises par les Occidentaux. Cela concerne bien évidemment ce que j’ai évoqué à l’instant. Les Polonais ne doivent surtout pas écouter ceux qui leur enjoignent d’abandonner leur polonité au profit d’une européanité utopique. Qu’importe de se faire traiter d’ « arriéré » et de « moyenâgeux », si c’est le maintien de l’homogénéité culturelle et démographique du pays qui est en jeu.
Les Polonais auront une occasion de se prononcer là-dessus en mai 2025, lors de l’élection présidentielle. Je leur souhaite tout naturellement d’effectuer le bon choix, qui les préservera de la dilution dans cette bouillie irrespirable qu’est le progressisme. Le bon choix, qui fera que leur pays ne deviendra ni un oblast russe, ni un land allemand, ni la province numéro 21 de l’Union fédérale Européenne, ni une république islamique, ni le 51ème Etat des Etats-Unis.
Je souhaite aussi aux Polonais de chérir la liberté. La liberté économique, la liberté individuelle, la liberté politique. Cela peut malheureusement nécessiter un important effort dans un pays encore marqué par l’époque communiste, mais c’est pourtant nécessaire.
Je souhaite à l’Ukraine d’obtenir la paix la moins désavantageuse possible. Il me semble trop tard, étant donné le manque criminel de volonté occidental, pour espérer récupérer les territoires conquis par la Russie au cours de ces trois dernières années. Tant les Européens que les Américains sont responsables d’avoir laissé tomber Kiev. Tant les Démocrates américains que les Républicains. Je souhaite aux Ukrainiens de pouvoir vivre dans un pays qui sera enfin à l’abri de l’appétit de l’ogre moscovite. Car si certains estiment qu’en cédant la Crimée et le Donbass à Vladimir Poutine, et en établissant que l’Ukraine n’entrera jamais dans l’OTAN, la Russie sera contentée, ils se trompent lourdement.
Le premier ministre slovaque Robert Fico l’a involontairement reconnu, en déclarant que « les Occidentaux ne comprennent pas l’âme russe ». Il voulait dire que « les Russes ne se laisseront pas manœuvrer », mais cela peut surtout vouloir dire que la volonté russe de pousser le plus possible à l’ouest est une tendance historique lourde, indépendante des prétextes sur « l’extension OTAN » ou « le bellicisme des néoconservateurs américains ». Seuls les esprits soumis à la propagande peuvent imaginer que nous, Occidentaux, sommes responsables de 400 ans de guerres russes de conquête, et qu’on aura la paix en cédant aux « lignes rouges » du Kremlin.
Souhaiter la paix au Proche-Orient n’est pas vraiment original. Il faudra bien plus que les Accords d’Abraham ou les résolutions de l’ONU pour que les conflits cessent. Je peux juste souhaiter que nous prenions collectivement conscience que cette région est l’un des fronts de la guerre de civilisations qui nous oppose à d’autres blocs, même si la réalité du terrain peut donner l’impression que les choses sont beaucoup plus compliquées que ça. Bien entendu, on ne résoudra pas les conflits tribaux et religieux d’un coup de baquette magique, en appliquant par-dessus notre grille de lecture globale. Comme en Afrique, nous n’avons pas affaire à des Etats-nations sociaux-démocrates à l’européenne. Cependant, ici non plus ce n’est pas en abandonnant nos alliés, quels que soient les griefs, justifiés ou non, que l’on peut avoir contre eux, et en multipliant contre eux les accusations de génocide que nous aurons la paix. Bien au contraire, tout geste de faiblesse sera immédiatement utilisé et retourné contre nous par ceux qui veulent prendre notre place, voire pire.
Je souhaite aux Etats-Unis d’assumer à nouveau leur rôle de phare du monde libre, même celui de gendarme du monde. Ce n’est pas en négociant avec faiblesse avec nos ennemis que nous serons tranquilles, et qui d’autre que les Etats-Unis peut s’en charger ? Chaque période de faiblesse américaine et de repli a entraîné la déstabilisation dans des régions entières du globe. On l’a vu sous le mandat de Joe Biden. Donald Trump ne doit surtout pas céder aux sirènes de l’isolationnisme. Il ne doit surtout pas succomber aux appels des propagandistes anti-occidentaux, nombreux jusque dans son propre camp et dans le nôtre.
Je souhaite aux Américains de rester fiers de qui ils sont, de rester fidèles à leur mythes fondateurs, de rester un modèle pour tous ceux qui aiment leur pays. Je leur souhaite aussi de respecter la souveraineté de leurs alliés, de les traiter avec considération mais sans faiblesse, d’établir avec eux des relations saines, équilibrées et transparentes. Ce n’est qu’ainsi que nous serons tous gagnants.
Enfin, je ne compte pas souhaiter au monde de « lutter contre la crise climatique » ou de « résoudre les inégalités ». Je laisse cela aux illuminés qui se collent les mains sur le bitume, qui aspergent les tableaux de soupe ou qui se gavent de bloqueurs de puberté. Si nous redevenions sains d’esprit, nous saurions nous débarrasser rapidement de ces nuisibles, qui ne sont que le reflet de nos propres doutes et de notre propre crise d’identité. On ne crée pas une société apaisée en cédant aux revendications des minorités bruyantes. On ne se guérit pas en sanctuarisant nos pathologies, mais en les combattant. Si l’année 2025 doit être marquée par un mot d’ordre, c’est bien celui-là, et ce que je nous souhaite à tous.
Réflexions na niedzielę
Życzę Wam…
W okresie Świąt Bożego Narodzenia, Chanuki i Nowego Roku naturalne jest, że spoglądamy wstecz na miniony rok i życzymy naszym rodzinom i przyjaciołom wszystkiego najlepszego w nadchodzącym. Nie zawsze jest to łatwe. Czasami trzeba wprowadzić innowacje, niekoniecznie powtarzać te same życzenia co podczas poprzednich uroczystości i dostosować się do osoby, do której się zwracamy. Tym razem spróbujemy czegoś nieco bardziej innego: nie będziemy wysyłać naszych najlepszych życzeń do bliskich nam osób, ale do krajów i narodów.
Życzę Francji i Francuzom więcej odwagi. Odwagi politycznej, oczywiście, ponieważ kraj znajduje się na rozdrożu i w sytuacji, w której najmniejsza iskra może spowodować przewrót wyborczy. Jest całkiem możliwe, że nowe wybory parlamentarne odbędą się w 2025 r., po porażce rządu Bayrou, a może nawet tego, który po nim nastąpi. Mam nadzieję, że przy tej okazji Francuzi ostatecznie wyrzucą „front republikański” na śmietnik historii. Czy to na rzecz prawicy, czy partii liberalno-konserwatywnej i tożsamościowej. Być może bardziej na korzyść tej drugiej niż pierwszej, ale nie o to tutaj chodzi: chodzi o pozbycie się tej głęboko antydemokratycznej zasady, która zbyt długo pasożytowała na francuskim życiu politycznym i stworzyła wyłom w równym traktowaniu partii. To właśnie „front republikański” doprowadził do niemożliwego do opanowania Zgromadzenia Narodowego i sytuacji wirtualnego impasu instytucjonalnego. Centrum i lewica mogą mówić, że prawica jest „nieodpowiedzialna”, ale to ich sojusz w drugiej turze przedterminowych wyborów parlamentarnych pogrążył kraj w kryzysie. Oczywiście z krytyczną porażką macronizmu w tle. Pomysł rezygnacji Emmanuela Macrona wydaje się stopniowo zyskiwać na popularności. Jak może on przetrwać kolejne dwa lata w tych warunkach? Chociaż prezydent nie ma instytucjonalnego obowiązku zakończenia przedterminowo swojej kadencji, nowa katastrofa wyborcza może go do tego skłonić. A wezwanie do zakończenia „republikańskiego frontu” dotyczy również wyborów prezydenckich.
Odwaga kulturowa i cywilizacyjna powinna wyrażać się w głośnym i wyraźnym głoszeniu prymatu Zachodu na jego własnych ziemiach. Francuska flaga musi przestać być postrzegana jako „faszystowska”, a nasze zwyczaje i tradycje nie mogą być ukrywane w czasie, gdy inne narody pośród nas prezentują swoje z dumą, jeśli nie arogancją. Powieść narodowa musi odzyskać centralne miejsce w szkołach, ponieważ jest to jedyny sposób na integrację, a nawet asymilację. Poddanie się „rozsądnym dostosowaniom” i nieokiełznanemu szacunkowi dla różnic między wszystkimi służy jedynie dalszej eksplozji społeczeństwa, które już jest poważnie rozbite. Potwierdzenie dominującego miejsca chrześcijaństwa we Francji i Europie nie jest obrazą dla muzułmanów, podobnie jak potwierdzenie prymatu islamu w Arabii Saudyjskiej nie jest obrazą dla chrześcijan. „W Rzymie rób to, co robią Rzymianie”. Życzę, by imigranci żyli w Europie po europejsku, bez konieczności narzucania im tego. Jeśli odmówią, to my będziemy musieli im to narzucić. W końcu nie mają obowiązku się tu osiedlać. Jeśli nie podoba im się kultura i tożsamość naszej cywilizacji, mogą osiedlić się gdzie indziej. Nie powinni się przy tym wahać. W przeciwnym razie wszystkie piękne słowa o „republikańskich wartościach” będą tylko powietrzem.
Życzę, by Polska i Polacy nie powielali ślepo błędów popełnianych przez rządy i narody Zachodu. Dotyczy to oczywiście tego, o czym wspomniałem przed chwilą. Polacy przede wszystkim nie mogą słuchać tych, którzy każą im porzucić polskość na rzecz utopijnej europejskości. Jakie znaczenie ma bycie nazywanym „zacofanym” i „ciemnogrodzkim”, jeśli stawką jest kulturowa i demograficzna homogeniczność kraju?
Polacy będą mieli szansę zdecydować o tym w maju 2025 roku, podczas wyborów prezydenckich. Oczywiście mam nadzieję, że dokonają właściwego wyboru, takiego, który uchroni ich przed rozcieńczeniem w zgniłej papce, jaką jest progresywizm. Właściwego wyboru, który zapewni, że ich kraj nie stanie się ani rosyjskim obwodem, ani niemieckim landem, ani prowincją numer 21 federalnej Unii Europejskiej, ani islamską republiką, ani 51. stanem Stanów Zjednoczonych.
Życzę też Polakom, aby pielęgnowali wolność. Wolność gospodarczą, wolność jednostki, wolność polityczną. Może to wymagać pewnego wysiłku w kraju wciąż naznaczonym piętnem komunizmu, ale jest to konieczne.
Życzę Ukrainie jak najmniej niekorzystnego pokoju. Wydaje mi się, że jest już za późno, biorąc pod uwagę karygodny brak woli ze strony Zachodu, aby mieć nadzieję na odzyskanie terytoriów podbitych przez Rosję w ciągu ostatnich trzech lat. Zarówno Europejczycy, jak i Amerykanie są odpowiedzialni za zawiedzenie Kijowa. Zarówno amerykańscy demokraci, jak i republikanie. Życzę, żeby Ukraińcy mogli żyć w kraju, który wreszcie będzie bezpieczny przed apetytem moskiewskiego ogra. Bo jeśli niektórzy myślą, że oddając Krym i Donbas Władimirowi Putinowi i ustalając, że Ukraina nigdy nie wstąpi do NATO, usatysfakcjonują Rosję, to niestety się mylą.
Słowacki premier Robert Fico nieświadomie określił, że „ludzie Zachodu nie rozumieją rosyjskiej duszy”. Chodziło mu o to, że „Rosjanie nie dadzą sobą manewrować”, ale tak naprawdę może to oznaczać, że rosyjskie pragnienie pchnięcia się jak najdalej na zachód jest silnym trendem historycznym, niezależnym od pretekstów o „ekspansji NATO” lub „podżeganiu do wojny przez amerykańskich neokonserwatystów”. Tylko uległy propagandzie umysł może sobie wyobrazić, że my na Zachodzie jesteśmy odpowiedzialni za 400 lat rosyjskich wojen podjazdowych i że będziemy mieli pokój, poddając się „czerwonym liniom” Kremla.
Życzenie pokoju na Bliskim Wschodzie nie jest niczym oryginalnym. Zakończenie konfliktów będzie wymagało znacznie więcej niż Porozumienia Abrahama czy rezolucji ONZ. Mogę mieć tylko nadzieję, że wspólnie zdamy sobie sprawę, że ten region jest jednym z frontów w wojnie cywilizacji, która stawia nas przeciwko innym blokom, nawet jeśli rzeczywistość na miejscu może sprawiać wrażenie, że sprawy są znacznie bardziej skomplikowane. Oczywiście nie możemy rozwiązać konfliktów plemiennych i religijnych za pomocą magicznej różdżki, nakładając na nie naszą globalną siatkę odczytu. Podobnie jak w Afryce, nie mamy do czynienia z socjaldemokratycznymi państwami narodowymi w europejskim stylu. Jednak również w tym przypadku nie osiągniemy pokoju, porzucając naszych sojuszników, niezależnie od tego, jakie mamy do nich pretensje, uzasadnione lub nie, i mnożąc przeciwko nim oskarżenia o ludobójstwo. Wręcz przeciwnie, każdy gest słabości zostanie natychmiast wykorzystany przeciwko nam przez tych, którzy chcą zająć tam nasze miejsce, a nawet gorzej.
Życzę, aby Stany Zjednoczone ponownie przyjęły rolę latarni wolnego świata, a nawet światowego żandarma. Jeżeli chcemy osiągnąć pokój, nie możemy negocjować z pozycji słabości z naszymi wrogami. A kto może to zrobić, jeśli nie Stany Zjednoczone? Każdy okres amerykańskiej słabości i odwrotu prowadził do destabilizacji w całych regionach świata. Widzieliśmy to za czasów Joe Bidena. Donald Trump nie może poddać się syrenim wezwaniom izolacjonizmu. Nie może ulegać apelom antyzachodnich propagandystów, których jest wielu nawet w jego własnym obozie i w naszym.
Życzę Amerykanom, aby pozostali dumni z tego, kim są, aby pozostali wierni swoim mitom założycielskim, aby pozostali wzorem dla wszystkich, którzy kochają ich kraj. Życzę im również, aby szanowali suwerenność swoich sojuszników, traktowali ich z rozwagą, ale bez słabości, aby nawiązali z nimi zdrowe, zrównoważone i przejrzyste stosunki. Tylko w ten sposób wszyscy wygramy.
Wreszcie – nie mam zamiaru życzyć światu „walki z kryzysem klimatycznym” lub „rozwiązania nierówności społecznych”. Zostawię to szaleńcom, którzy przyklejają swoje ręce do asfaltu, rozpylają zupę na muzealnych obrazach lub faszerują się blokerami dojrzewania. Gdybyśmy znów byli zdrowi na umyśle, szybko pozbylibyśmy się tych szkodników, którzy są po prostu odbiciem naszych własnych wątpliwości i kryzysu tożsamości. Nie stworzymy pokojowego społeczeństwa, ulegając żądaniom hałaśliwych mniejszości. Nie wyleczymy się, czyniąc z naszych patologii sanktuaria, ale walcząc z nimi. Jeśli rok 2025 powinien mieć hasło przewodnie, to jest nim właśnie to – i tego nam wszystkim życzę.
Nathaniel Garstecka